On y passe nos journées, mais on ne le voit plus. Nos yeux se posent sur le détail d’un escalier, d’un revêtement de sol ou sur le reflet d’une vitre, puis nous allons en cours ou en atelier. L’image reste quelque part dans notre mémoire, elle resurgira peut-être. Voici quelques notes (visuelle) de nos déplacements au milieu de l’ECAL, cette ancienne usine de bas nylon que Bernard Tschumi a transformé en école d’art.
Photographies Samuel Spreyz (BA Photographie)